Pour des raisons indépendantes de notre volonté, la prestation de Grand Atlas Mondial de ce soir est annulée (les autres concerts restent à l'affiche). Un grand MERCI à PROJETH qui viendra présenter son nouveau live tout frais sorti du four.
 

Passés maître dans l'art de marier le son et l'image, Vouipe se différencie par son parti pris instrumental, alliant à la modernité électronique et le bourdonnement d'instruments accoustiques.
Citant Autechre et Eric Truffaz parmi leurs influences, ce duo electro-instrumenthe à l’eau-visuel unique. Des vibrations subtiles qui vous caressent les tympans, du kick qui fait vibrer votre pantalon et des photons rapides qui vous titillent la rétine se mélangent pour vous faire vivre une expérience sonore et visuelle sans pareil.
L’homme orchestre Dimitri, vous emmène au moyen de nappes sonores enregistrées lors de ses voyages, de voix délirantes et d’instruments aux sonorités atypiques (Cors des Alpes, Didgeridoo, Fujara,…), dans une électro expérimentale saisissante, racée et punchy. Son acolyte et VJ Nicolas enrichit cette création musicale en habillant la scène de multiples effets lumineux, tout à la fois magnétiques et subtiles (projections, mapping,…), pour vous plonger dans un univers où le son et la lumière se rejoignent dans une chorégraphie esthétique et sophistiquée.
Deux ans après l’album Compostage, Vouipe remet le couvert avec Moop. Le petit nouveau s’inscrit dans l’évolution logique de la musique de Vouipe: de l’électro toujours plus dansante et efficace sans pour autant délaisser les mélanges de sons et d’instruments qui la caractérise depuis ses débuts.
En effet, la couleur de « Moop » reste sur la lignée des deux premiers albums. La base électro est composée à partir d’enregistrements récoltés lors de rencontres, de voyages, de petits moments de la vie représentatifs pour Vouipe. Les samples sont retravaillés informatiquement pour former une mélodie, créer une atmosphère ou susciter une émotion. A la matière numérique créée par ordinateur viennent s’ajouter le bourdonnement organique du didjiridoo, le souffle léger de la fujara, les mélodies du hang, ou encore le son planant du cor des Alpes. Des voix viennent parfaire l’humanisation de la musique.

Pour ouvrir la soirée, Mess Noir, de Bienne. Techno expérimentale, sombre et bruitiste.